Nabucco.

Giuseppe Verdi était un musicien italien composeur de opéras qui était né en 1813. Il a était auteur de ouvres comme Il Trovatore, Aida ou Otello. Mais, dans cette entrée nous allons parler de sa ouvre plus polémique, Nabucco. Cette opéra est une tragédie lyrique à quatre parties dont le nombre original est "Nabuchodonosor".
 

Elle était crée en 1842, à la Scala de Milan, et si bien la musique était écrit par Verdi, les paroles étaient écris par Temistocle Solera. La opéra représente le passage qui passe à Jérusalem et Babylone vers 587 av.C, où Fenena, princesse de Babylone, tombe amoureuse d'un jeune hébreu appelé Ismaël. Mais le père de Fenena, le roi Nabuchodonosor II, n'est pas d'accort avec cette relation, et il interdit sa fille de voir a Ismaël.

En première lieu, nous devons connaître le contexte dans lequel cette ouvre a été publié. C'était le XIXème siècle, et l'Italie était divisée en petits états dominés par l'Autriche. Les italiens, grâce au Risorgimento, avaient un sentiment nationaliste très fort, et ils ont vu dans Nabucco une répresentation de ça qui avait lieu en Italie, en particulier dans la représentation de la chanson "Va, Pensiero".

Aussi connue comme le choeur des esclaves, dans "Va, Pensiero" a des paroles qui appellent à la liberté d'un peuple dominé, comme par exemple "Oh ma patrie si belle et perdue" ou "Rallume les souvenirs dans le cœur, parle-nous du temps passé. Si bien dans l'opéra c'est un chant des hébreux prisonniers, c'est aussi une claire référence aux faits.

Comme ça, les italiens ont fait de Verdi un symbole de la révolution et ils utilisaient son nombre comme les sigles de "Victor Emmanuel Roi D'Italie". Ils écrivaient dans les murs des rues "Vive VERDI" comme proteste et petite révolution. Plus tarde, le roi Victor-Emmanuel, avec l'aide de la France, a obtenu finalement sa indépendance.